Pas évident de trouver un truc à dire, mais il est des circonstances où il est finalement plus dangereux de se taire.
Notamment quand on voit les orbites vertigineusement incandescentes où circulent déjà les Rioufol et autres, gardiens hallucinés de valeurs folles, suitant de mauvaise foi, déviant perversement les évidences les plus structurantes (les "moralistes" seraient à l'origine de l'immoralité... je vous laisse méditer). Ces gens-là roulent leur public dans la farine, je dis au simple argument qu'il ne peuvent pas être aussi bêtes que leurs outrances semblent l'indiquer.
Je ne citerai pas le lien de l'édito du susdit commentateur, pour ne pas lui faire de la publicité, et aussi parce que je ne le retrouve pas, sa lecture m'ayant fait vomir subitement sur l'ordinateur.
Alors comme je n'ai rien à dire, je laisse parler Philippe Katerine :